Après
le premier, il y a le deuxième, c’est logique mais, ce n’est pas toujours le
cas.
Exemple :
après le premier avril, il n’y a pas le deuxième avril ; les poissons, mets
délicats, ne tiennent pas très longtemps. Le jour suivant, ils puent ! Et
c’est tant mieux parce qu’il est des poissons d’avril pourris dès qu’ils sont
faits. On peut rire de tout mais pas avec tout le monde et tout dépend des
périodes. Cette année n’est pas une bonne période !
Toutefois,
parmi les « poissons » reçus, celui que j’ai le plus apprécié
est : « Il faut retarder vos horloges et montres d’une heure pour se
mettre au niveau des autres pays européens ! » Celui-ci ne fait de
tort à personne, même pas aux gens qui sont dans le malheur. Quoi que… une
heure pour quelqu’un qui souffre, c’est long !
Alors
quoi ? Il ne faut plus continuer cette coutume du premier avril ? Ce
serait une erreur, tout deviendrait triste… mais ça arrivera !
En
attendant, vive le poisson d’avril.
Bon,
pour la règle du deuxième et du second : on dit le deuxième quand il est
suivi par le troisième etc. On devrait dire le second quand il n’y en a que
deux : le premier et le second.
Autre
chose : vous voulez savoir mes penchants en écriture ? Cliquez sur le
lien qui suit : thebookedition.com.
A
suivre…
Comme
convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Ant Askman, cap Morgenspat, Ecrire Pastel, Éric Valloni, gravillons, et VittorioDenim ; sans oublier
notre « Ateliers d’écritureS
68 ».
Bonne lecture et, partagez. Faites-le pour vous, partagez !
Bonne
lecture et, partagez, faites-vous plaisir.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire