De fil en aiguille

La poésie ne se trouve pas seulement dans les livres, l’art ou la nature, elle peut aussi se voir dans les actions. 

Hommage à ces personnes qui agissent ‘pour le plaisir’ comme on dit ; sans contrepartie. C’est de la poésie aussi. 

En ce moment, je la vois entre les mains de ces personnes qui soignent d’autres personnes mais aussi entre les mains de de ces couturières qui font des masques pendant leurs longues journées de confinées. On les appelle : les petites mains ! Mais, oh combien leur coeur est grand.

La poésie est entre nos mains. 

Ces personnes travaillent gratuitement afin de procurer aux autres un rempart contre ce virus qui est (heureusement pas toujours) dans l’air. 

L’air est respiré 

Personne ne vit sans air 

Même l’air du temps 

 

La poésie est dans ces bouts de tissus assemblés. Ils sont formés d’espoir. De fibres végétales, certes mais aussi d’espoirs. L’espoir d’arrêter le virus, l’espoir d’être utile à quelqu’un, l’espoir de continuer la vie.

« Sans ‘R’ arme se lit âme » 

« normal, sans air, rien ne vit »

Voir la poésie partout est mon défaut. Désolé. Mais, c’est certainement moins dangereux que dire du mal des gens. 

Bravo aux petites mains. 

La poésie vaincra. 

Sinon, le reste du temps, je lis. Actuellement, j’ai deux livres qui sont intéressants : Tableaux pour vous qui aimez la poésie et Destinations pour vous qui aimez le dépaysement. Un clic sur le lien et vous pourrez lire quelques pages pour vous faire votre avis et d’ailleurs, puisque vous y êtes, vous pourrez laisser votre avis ! C’est permis.  

A suivre… 

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Ant Askman, cap Morgenspat, Ecrire Pastel, Éric Valloni, gravillons, et VittorioDenim ; sans oublier notre « Ateliers d’écritureS 68 ». Bonne lecture et, partagez. Faites-le pour vous, partagez !

Bonne lecture et, partagez, faites-vous plaisir.

La poésie suit les voyages

Je n’aime pas la solitude. J’aime avoir et être entouré d’amis. C’est important de se voir, de se parler, d’échanger. 

C’est difficile de le faire en ce moment ; solidarité oblige. Nous restons en retrait afin de ne pas véhiculer vers les autres, afin de ne pas être celui ou celle qui transmet le virus et, par conséquent, éviter d’être un assassin potentiel. 

A ce propos, avez-vous remarqué qu’il n’y a pas de féminin pour assassin ? On peut dire ‘une phrase assassine’ ou qu’une ‘femme assassine’ mais pas ‘une assassine’ ! 

Et je reviens à ce que je voulais vous dire : les temps sont surprenants ! 

Par exemple, nous sommes tous à la maison. Bien sûr, nous sommes obligée mais, nous sommes intelligents et nous comprenons pourquoi donc, nous le faisons volontiers. 

Mais, c’est le printemps et, exceptionnellement, le soleil est au rendez-vous ! C’est triste ; nous sommes à l’intérieur...

Pourtant, vous savez ce qui est beau dans ce confinement, cette invitation à rester chez soi ?

Ce sont les belles photos qu’on peut faire des monuments sans personne autour. Enfin ! Des monuments mais aussi de la nature, un parc ou tout simplement les rues vides des villes. 

Avant, j’étais obligé de me lever très tôt le matin pour les faire. Et la lumière était trop ‘basse’ à mon goût. Maintenant, je peux faire mon footing (mes photos) jusqu’à 9 heures. C’est sympa. Le seul regret, c’est que je ne peux pas les faire trop loin de chez moi. C’est dommage. J'aurais aimé faire des photos à Eguisheim ou Kaysersberg. Tant pis, je me rattraperai autrement.

Sinon, le reste du temps, je lis. Actuellement, j’ai deux livres qui sont intéressants : 

-  Tableaux pour vous qui aimez la poésie et  

-  Destinations pour vous qui aimez le dépaysement, les voyages.

Un clic sur le lien et vous pourrez lire quelques pages pour vous faire votre avis et d’ailleurs, puisque vous y êtes, vous pourrez laisser votre avis ! C’est permis.  

A suivre…

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Ant Askman, cap Morgenspat, Ecrire Pastel, Éric Valloni, gravillons, et VittorioDenim ; sans oublier notre « Ateliers d’écritureS 68 ». Bonne lecture et, partagez. Faites-le pour vous, partagez !

Bonne lecture et, partagez, faites-vous plaisir.

Quand la citation est bonne

Je suis un passionné de Sherlock Holmes et je me souviens avoir lu dans les premières pages de « La bande des quatre » (1890 et 2^ème aventure de S.H.) que Sir Arthur Conan Doyle (1859/1930) fait dire à son héros : 

« Lorsque vous avez éliminé l’impossible, ce qui reste, aussi improbable soit-il, est nécessairement la vérité. » 

 

(Par la suite, dans les autres romans et nouvelles, il la répète modifiée un peu.) 

Il faut croire que cette citation est excellente car je l’ai lue aussi dans une bédé, Dylan Dog n°340 de janvier 2015, et je l’ai entendue le vendredi 03/04/2020 dans la série « Astrid et Raphaëlle ». ET je suis certain que d’autres encore l’ont utilisée (comme Stephen King). 

Comme vous l’avez compris, je suis en train de relire la série des Sherlok Holmes. Normal, les librairies sont fermées. Les salons du livre où je me fournissais amplement n’ont pas eu lieu. Je me rabats sur les livres que je possède déjà et sur ceux qu’on peut télécharger. Pour certains gratuitement. 

Sans nul doute, ce virus va générer des changements sur notre avenir. On s’habitue plus vite à ne rien faire qu’à travailler et si en plus on peut avoir quelque chose gratuitement, et sans faire l’effort de sortir de chez soi, pourquoi le payer ?

Pour les livres aussi, il y aura un après confinement. 

 

Pour ma part, je ne changerai rien car j’aime les livres, les tenir, les sentir, les acquérir et de préférence avec une dédicace, personnalisés.

A bientôt donc, dans une vraie librairie ou même dans l’espace culture d’une grande surface et dans les salons du livre qui, j’espère reprendront bientôt. 

Une dernière chose : je ne vous mets pas le nom de ma collection des Sherlock Holmes mais, sachez qu’ils y a eu plusieurs traductions de plusieurs maisons d’éditions et toutes ne se valent pas. Sachez trouver la vôtre. La qualité se paie. 

Ainsi, de cette citation je peux vous en citer d’autres selon le traducteur ou la traductrice : « Eliminez tous les mobiles celui qui reste doit être le bon » ; « Eliminez tous les autres facteurs, et il n’en reste qu’un qui doit être la vérité » ; etc. Personnellement, je préfère celle citée au début de ce post.   

Autre chose : vous voulez savoir mes penchants en écriture ? Cliquez sur le lien qui suit : thebookedition.com et commandez le livre de type polar, roman, nouvelles ou poésies que vous aimez. A moins que vous ne le préfèreriez dédicacé…  

A suivre… 

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Simplement dire : merci

Au bout d’un certain nombre de jours de confinement, un mois ! je me suis demandé si je comptais pour un éventuel quelqu’un dans le monde. Ce qui m’a amené à faire le point dans mes amitiés et connaissances ainsi que la famille. 

Comme celle-ci, le temps passant, s’est considérablement réduite, j’ai vite fait le point. J'en ai conclu qu'il faut soigner ceux qui restent ; rien n’est sûr et tenir vaut mieux que courir… si je peux dire… derrière un corbillard. Le temps se réduit pour tous, y compris pour moi.

 

Je suis alors passé aux membres non imposés : les amis et les connaissances. Et c’était génial. Je me suis aperçu que j’ai plus d’amis que je ne pensai ! D’ailleurs, des personnes qui n’étaient, à prime abord, que des connaissances sont devenues des amis. 

C’est incroyable et c’est beau. 

 

D’ailleurs, mon penchant naturel pour la solitude m’avait amené à l’écriture et c’est l’écriture (aussi bien les ateliers d’écriture que les salons du livre) qui m’a amené le plus d’amis. Et, des vrais puisqu’ils résistent aux années et persistent dans la durée. 

 

En fin de compte, le poète converti en écrivain n’a pas à se plaindre pendant le confinement ; plusieurs personnes prennent de ses nouvelles. Il peut échanger sa passion, parler la même langue, mais aussi s’inquiéter des autres, de ses amis car l’amitié, c’est avant tout un échange.

Quand je pense que j’ai toujours dit : « Siamo soli ! » (Nous sommes seuls !). Comment pouvais-je deviner qu’en basculant totalement « en écriture » j’aurais eu droit à autant d’affection !

Alors, j’aimerais simplement vous dire : MERCI.

Pour le personnel soignant, nous applaudissons tous les soirs à nos fenêtres. C’est bien (et c’est la moindre des choses que nous puissions faire pour eux). Pour tous ceux qui se soucient de nous, nous devrions faire pareil. Donc : MERCI.

Autre chose : vous voulez savoir mes penchants en écriture ? Cliquez sur le lien qui suit : thebookedition.com. 

 

A suivre…

 

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Bonne lecture et, partagez, faites-vous plaisir.