mercredi 13 février 2019

La Grande-Motte naissante II Le Quartier du Couchant


Suite du post précédent.
Ensuite après le dessert, nous allâmes, avec ses amies, à la plage du « Couchant ». 

Il faut quand même vous l’imaginer comme elle était il y a 40 ans : libre et dégagée. Les bâtiments pyramidaux étaient en pleine construction et, tout autour, les dunes étaient encore vides de tout édifice. La première pierre de l’église Saint-Augustin n’a été posée qu’en 1974 ! Et c’est en 1979, soit deux ans après mon arrivée, que commence la construction des immeubles du quartier du Couchant ; là où nous allions ! Tout le reste était encore en friche. 
La Mairie n’a été inaugurée qu’en 1982 !
C’est-à-dire que la plage qui, aujourd’hui vous semble petite ou, comme je l’ai entendu, entourée de béton, il y a 40 ans, c’était « la zone » ! Elle était entourée de dunes et de marais. 

Depuis, « le marais », qui était infesté de moustiques, est devenu une belle ville avec toutes les commodités utiles. Vous pouvez faire de l’accrobranche, du vélo, du tennis, vous baigner, aller à la thalasso, au cinéma, et il y a même un salon du livre ! (Voir image du post précédent)

Bref, je reviens à mon histoire.
Vers 17 heures, et malgré le parasol, j’avais un peu rougi ! Passage imposé par le café-restaurant du matin pour se réhydrater  grâce à une glace à la terrasse, cette fois-ci ombragée mais toujours face à la mer, sur la promenade entre le phare et le Point-Zéro. 
Puis, retour à Nîmes où nous habitions.  
  
C’était ma première journée à la mer. Et j’étais à la Grande Motte que vous ne connaitrez jamais, celle qui était encore sauvage ; la Grande-Motte naissante !  Mais, il y en eut d’autres, des belles journées et, par tous les temps car même en hiver, la mer est belle et, le centre-ville de cette commune est vivant. Il y a des cafés, des restaurants, des magasins et même des gens qui y vivent à l’année, de vrais habitants. Naturellement, en hiver, les terrasses que nous fréquentions sont couvertes et chauffées. 

La Grande Motte, c’est aussi un endroit où le touriste est toujours le bienvenu mais, nous, personne ne nous prenait pour des touristes. Déjà parce que nous y venions en toutes saisons et qu’à la longue on connait serveurs, cafetiers, restaurateurs ou vendeurs mais aussi parce que nous commencions à bronzer dès le mois de mars ; les vrais touristes arrivent blancs et repartent rouges ! C’est, en tout cas, ce que disaient les cafetiers. 

A suivre à Palavas

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : AnselmeLutin, avidoxe, Ateliers d'écritureS, Dan et Dina, Dina de Dan,  Ecrire Pastel, Éric Valloni, gravillons, polarsensudalsace et VittorioDenim Bonne lecture et, partagez, faites-vous plaisir.

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