jeudi 21 février 2019

Et on se casse... où ? A Palavas


Après tous les endroits que j’avais fréquentés depuis mon arrivée, aller à Palavas était la suite logique d’un jeune avide de découvertes. 
C’est pourquoi, un dimanche, au lieu de bronzer côté-face/côté-pile allongé sur le doux sable chaud, je décidai de bronzer verticalement et d’aller à pieds jusqu’à Palavas.

Nous étions juste en face du « Grand-Travers », sur ‘notre’ plage habituelle et, j’eus envie de me balader à pieds, longeant la mer.
C’était le matin, j’avais le soleil à gauche. Sans vraiment l’avoir cherché, une heure plus tard je me retrouvai sur la plage de Palavas. J’étais en maillot ; je fis demi-tour et, le soleil à droite, je rentrai. C’était une bonne façon de bronzer. Mais c’était aussi la première approche avec Palavas

Palavas-les-Flots (les flots : terme ajouté en 1928) est une commune assez récente puisqu’elle a été créée en 1850 et accueille, de nos jours, plus de 6 mille vrais habitants à plein temps. En été, avec les touristes, ce chiffre peut monter jusqu’à 40 milles ! Il faut savoir que Montpellier n’est qu’à 10 kilomètres. (C’est donc aussi leur plage. Et ils en font usage.)
Palavas est un véritable port de pêche avec ses bateaux qu’on peut voir partir, légers, et revenir chargés de caisses de poissons qui trouvent preneur rapidement car autour du port il y a plein de restaurants mais aussi dans le village et, naturellement, à Montpellier. 

Pour traverser le Lez, le fleuve qui partage la commune en deux, il existe aussi un téléphérique qu’on appelle « le transcanal », mis en place en 1977 mais, que je n’avais pas du tout remarqué lors de ma première venue (même date).
Le casino date de 1920. L’Eglise Saint-Pierre, située au centre du village, a été construite en 1896. Et, le petit train, qui reliait Montpellier à Palavas, immortalisé par Albert Dubout, et qui circulait de 1872 à 1968, n’existait déjà plus à mon arrivée, en 1977.
Par la suite, en 1992, la ville s’est enrichie du musée Albert Dubout (1905/1976) (Grand ami de Marcel Pagnol). Il occupe un fortin sur l’ile du levant et, depuis 1996, il y a aussi un musée du train où vous pouvez voir ce fameux petit train. 

Je retournai à Palavas assez souvent, pour me balader sur le port et pour aller manger dans un de ses restaurants dont le poisson était frais puisque pêché par des pêcheurs sur place.
C’était en 1977, j’avais 20 ans et encore d’autres lieux à découvrir. 

Depuis, j’y suis retourné encore et la vidéo que vous pouvez voir, je l’ai mise en 2015. Les photos ont été faites hors-saison ; c’est un clin-d’œil de tranquillité aux 40 milles touristes qui y viennent en été. 

A suivre… 

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : AnselmeLutin, avidoxe, Ateliers d'écritureS, Dan et Dina, Dina de Dan,  Ecrire Pastel, Éric Valloni, gravillons, polarsensudalsace et VittorioDenim Bonne lecture et, partagez, faites-vous plaisir.

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