Ne cherchez
pas, c’est un souvenir qui m’appartient.
J’étais à
l’école, en cours d’allemand. Il fallait lire une phrase simple : die
Sonne scheint ; le soleil brille. Sauf que pour moi, « chahint »
n’était pas facile à prononcer et le « chenahit » est sorti
spontanément.
Naturellement,
toute la classe a « rigolé ». (Hormis les « pied-noirs » et
les « harkis » qui ne comprenaient pas ce qu’il y avait de drôle
puisqu’ils comprenaient autant que moi l’allemand.)
Il s’est passé
50 ans depuis ce lapsus mais, je m’en souviens encore. Et, j’avoue, maintenant,
j’en ris ! Je raconte volontiers cette anecdote pour montrer qu’il est
facile de rire d’un jeu de mots spontané et involontaire et qu’il n’est pas
nécessaire de se moquer de celui qui le laisse échapper.
Bon,
sérieusement, vivement que cet hiver se termine que je puisse recommencer mes
pérégrinations « visitatoires ».
Comment ?
On ne dit pas visitatoire ? En 50 ans, je n’aurais donc rien retenu de
cette leçon ? Mais si, pourtant ! Ceci est un néologisme, volontaire,
et j’assume.
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