vendredi 16 janvier 2009

DU DIRE AU PHARE IL Y A LA MARE


Un titre de billet plutôt curieux. Un peu arrangé à la provençale puisque la traduction exacte est : du dire au faire il y a la mer. Et la mer, pour moi, c'est un bon souvenir.
Ce que j'aimais, c'était les phares. Mais en méditerranée les phares ne sont pas giflés par les vagues. Pas très fort, en tous cas, ceux que je voyais le dimanche. Car moi, j'habitai Nîmes. Donc, les phares qui défient l'océan, à proximité, il n'y en a pas.
Mais j'aimais tout de même les phares. Un phare, c'est une lumière qui te guide la nuit. Tout un symbole. C'est ce doigt qui se dresse contre les éléments, qui les défie et protège le marin et son outil de travail : le bateau.
Je pense à cela car j'ai retrouvé un vieux livre qui a, sur sa couverture, un phare. Je ne sais pas sur quel récif il s'impose mais je l'avais pour mes sept ans. Ma fascination pour les phares vient peut-être de là. Le temps nous prépare ?

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